Vantrip #2 : un WE à Quiberon !
On a adoré le premier, donc on tente le deuxième. Direction, la Bretagne sud pour 3 jours en cette mi juin !
Lors de notre premier Vantrip sur l’île de Ré, nous avons été vraiment dépaysés le temps d’un week-end ! La vie en Van, le fait de s’arrêter lorsque l’envie s’en faisait sentir, nous nous sentions dans notre élément. Ce week-end, on renouvelle l’expérience. Comme je ne bosse pas beaucoup en ce moment, et que Jon travaille à la maison, il nous est très facile de partir trois jours lorsque l’on a envie de se changer les idées du quotidien.
Samedi, nous participons au « Groll Race« , une manifestation sportive qui propose 24 heures de roller non-stop en équipe le long de la côte de Quiberon. Nous, on est des chanceux, on peut donc partir plus tôt.
Nous commençons la route le jeudi soir et nous nous arrêtons la nuit à Pénestin, un petit village au dessus de Piriac sur Mer.
Après une nuit assez pluvieuse dans un endroit désert, nous reprenons la route le lendemain matin. Nous passons le barrage d’Arzal-Camoël au dessus du golfe de Gascogne et nous remontons la côte jusqu’à Auray et son magnifique petit port. L’endroit est super joli, et les hauteurs vers la petite église valent le détour.
Nous continuons le périple vers Crac’h puis ensuite Locmariaquer. Il parait que le golfe du Morbihan bénéficie d’un micro climat… Il est vrai que, par rapport à la pluie de Pénestin, il n’y a pas photo…
Nous prenons enfin, la direction de Quiberon en passant par la Trinité sur Mer avec ses superbes trimarans et Carnac…
Et nous voici arrivés à Quiberon, sur un parking sur la côte sauvage pour y passer la nuit, juste à temps pour le coucher du soleil ! L’un des plus beaux que j’ai jamais vu. La vue est à couper le souffle. D’ailleurs, un couple prenait leurs photos de mariage à ce moment-là.
Samedi, le jour J, nous avons rendez- vous à 9H30 pour le briefing de l’équipe. Et c’est parti pour 24 heures non stop de roller en équipe !
Avant de repartir à la maison, nous faisons un dernier tour sur la côte sauvage. Dommage qu’il y ait du vent et que, comme d’habitude, il y en a qui travaillent le lundi. Nous serions bien restés sur notre rocher encore un petit moment !